jeudi 27 février 2014

déjà une erreur de positionnement

En récupérant le panneau de descente sur la première coque, je me suis aperçu qu'une partie de cette pièce découpé dans le toit, était plus étroite que celle de la deuxième coque en cours de construction. Une rapide vérification me permit de découvrir mon erreur. Un des tasseaux constituant l'encadrement des trappes, avait été décalé de 19mm. Le reste du traçage ayant été fait par rapport à cette référence, les dimensions des 2 trappes étaient bonnes mais elles étaient décalées  vers l'extérieur.
Ni une, ni deux je découpe les 19mm de trop sur l'avant pour les reporter sur l'arrière. On voit ici l'opération en cour de découpe.







Dans la foulée la pièce est collée de l'autre côté de la trappe. On fait attention pour que tout soit bien à fleur,  étant donné que les deux parties ont la même épaisseur.
Le problème est réglé, et comme on a perdu assez de temps je ne m'attarde pas trop pour chercher son origine.










dimanche 23 février 2014

le débords

Le toit a un débord d'environ 2cm de chaque côté. Normalement il est prévu un simple joint congé. Mais comme pour la coque babord, l'espace est rempli par un tasseau triangulaire. Dessus viendra une couche de mélange permettant de faire un raccordement harmonieux conforme au relevé.

samedi 22 février 2014

une longue journée

Vers 3 heures du matin, la feuille de CP est collée, vissée et pressée à l'aide de bidons d'eau de 5l et de pots de peinture. En plus 4 sangles serre le tout au niveau des cadres des trappes.










10heures du soir, les 2 trappes sont découpées. Tout de suite, c'est plus pratique pour travailler à l'intérieur.

jeudi 20 février 2014

le toit suite

Avec une température de 30° et une hygrométrie de 80%, il fait chaud! Le baromètre annonce du temps variable, c'est à dire qu'il fait beau avec un soleil radieux.
Il faudrait étalonner le baromètre, puisque l'on est à 250m d'altitude.









Le toit  continue. La découpe du polystyrène prend bien 2 bonnes heures.
Le travail seul a un avantage, c'est que l'on ne dépend pas de quelqu'un. Mais un travail à deux serait bien plus efficace. Le temps de construction serait à mon sens divisé par au moins 3.
Seul on perd énormément de temps pour plein de petite chose comme prendre les outils, les déplacer.
En plus il faut tout calculer et prévoir à l'avance pour des séances de 7 à 8 heures.

dimanche 16 février 2014

fin du premier acte

La première couche est terminée avec la pose des linteaux de 19 X 19 qui supporteront la couche superficielle du toit. Seuls les linteaux de traverses sont composés de 4 épaisseurs de CP 5mm. Un petit coup de ponceuse amène l'épaisseur totale à 19mm.
Durée de l'opération totale, 7 heures. J'ai perdu un peu de temps pour fixer les linteaux à l'ai de vis non traversante pour faire propre. Mais un simple bout de fil de cuivre comme pour le reste de la coque aurait été plus rapide et plus efficace. Ce n'est pas trop grave car ce n'est pas une pièce structurelle, mais il faut quand même faire attention.
Prochaine étape, le polystyrène et la dernière couche de CP.

vendredi 14 février 2014

la générale

Je n'avais pas noté la méthode utilisée pour positionner la première couche du toit. Un accrochage au plafond avec une simple ficelle permettra de descendre doucement le CP 5mm sur la couche de colle. Il faudra ensuite visser là où c'est possible. Dans la foulée, le joint congé de chaque côté à l'extérieur et tout autour à l'intérieur.
Tout doucement mais ça avance.

jeudi 13 février 2014

Toit, toi mon toit !

Premier essai de la partie intérieure du toit. Elle est découpée plus large pour être ajustée en place.
Tout se présente bien ! dixit la chatte Kity, qui a l’œil bien sûr!
Comme le pont c'est un sandwich CP5/Polystyrène19/CP5.








Un coup d’œil à l'intérieur permet de voir que le toit repose bien sur les côtés droits et les 3 cloisons malgré les courbures.
Après collage et joint congé, il ne restera plus qu'à donner un coup de pistolet dans les angles pour faire un raccord  de peinture.










Le descente, la partie la plus complexe, à surveiller.

mardi 11 février 2014

un intérieur blanc

La photo ne rend pas bien, on dirait que c'est crème. Et pourtant c'est bien du blanc, sans doute l'éclairage.
Il n'y a pas trop de coulures. j'ai appliqué une recette de Pagnol : un gros tiers de préparation, un petit tiers de peinture, un bon tiers de pistolet et un gros tiers de peintre.

Difficile dans un espace aussi restreint et relativement confiné de réussir une peinture parfaite.
La buée envahit rapidement les lunettes qui n'empêchent pas les vapeurs de bruler les yeux.




Le toit est le plus réussi.

lundi 10 février 2014

préparation de la 2 ème couche

Toutes les surfaces sont poncées au papier 120, ce qui fait une fine poussière.
Aspiration de la poussière en douce avec l'aspirateur de la maison.
Passage d'une grosse éponge humide pour enlever le reste de poussière.
Demain il ne restera plus qu'à passer un coup d'acétone partout a dernier moment. Je fais tout ce qui faut pour avoir un bon état de surface.
Nettoyage du pistolet : 1 heure avec le nettoyant spécial, décrit il y a quelques temps.
A demain donc pour la deuxième couche.

dimanche 9 février 2014

peinture intérieure cabine

Je ne sais pas si c'est dans ma nature, mais je suis toujours semble-t-il à la traîne. Après avoir attendu la beau temps la veille, le dimanche matin malgré le beau soleil j'ai dû faire d'autres activités. Résultat, je n'étais prêt pour la première couche que vers les 6 heures du soir. Autant vous dire que j'ai fait vite.







Les masquages commencés depuis quelques jours déjà étaient bien avancés. Ici on protège l'extérieur de la cabine qui est encore brute.











Au dernier moment, découpe du toit, ponçage et masquage des zones à coller.












Début donc de la peinture proprement dite à 18 heures, l'heure de l'émission "Vivre avec les bêtes" sur France Inter. C'est là que je mesure le gouffre qui me sépare de certaines personnes parfois même de mon entourage.
J'ai préparé 2 mesures de mélange pour commencer. Peut être à cause de la chaleur, mais le pistolet refuse obstinément de fonctionner. La buse semble bouchée, et il n'y  a qu'une projection de "fil" de peinture.  On dirait que la peinture est trop pâteuse. Je rajoute un peu de diluant et je touille bien jusqu'au fond avec une baguette en bois. Enfin à force d'insister, le pistolet se débouche et la partie peut

commencer. Le toit est fini en quelques minutes.
L'intérieur est plus délicat, surtout sous les étagères. Il faut le faire maintenant que le godet est encore plein. Comme il faut beaucoup pencher le pistolet, s'il y a très peu de peinture, il peu se désamorcer et projeter de l'air seulement.
L'arrière de la  cabine est finie sans coulure. Il faut dire que j'économise de la peinture pour finir toute la surface.





L'avant, c'est à dire le carré est un peu plus léger. On voit encore bien le CP, mais il est déjà trop tard, pour préparer un autre dose de peinture. La deuxième couche sera plus épaisse, hé pis c'est tout !
Il reste encore à nettoyer le pistolet.

samedi 8 février 2014

les hublots

Après un relevé précis sur la première coque et un traçage, les hublots sont découpées. Il vaut mieux le faire avant peinture, pour bien protéger les bord intérieurs. J'aurais même dû le faire avant de passer les deux couches d'époxy, mais il me manquais les dimensions. Comme j'ai modifié les dimensions des hublots au cours de la découpe, il aurait fallu bien relever les côtes exactes. Enfin aujourd'hui c'est fait.
J'essaye aussi de faire en sorte de pouvoir accéder à cette première coque le week-end. Je prévois les futures installations comme l'évier par exemple. J'ai donc acheté un beau cadenas de sécurité avec 3 clés. S'il convient dès dimanche prochain je pourrai aller arracher les herbes qui envahissent le terrain sur lequel est garée la remorque.

mardi 4 février 2014

dans quel état gère

Enfin posées! Jamais 3 malheureux bouts de CP ne m'ont donné autant de soucis.
Pour oublier un peu cette mésaventure, j'attaque la finition du ponçage du pont avant en prévision des peintures.
Dans la semaine je reviendrai sur les étagères pour poncer les joints congés et préparer le haut de la cabine pour la peinture.
Je pense prendre un jour de congé, vendredi ou mieux lundi prochain.Si je finis la peinture (2 couches) vendredi ou samedi, je peux attaquer dès le lendemain la pose du toit de la cabine.

samedi 1 février 2014

235 : languet' !

Vendredi soir  j'ai passé 6 heures à fixer 3 étagères de 15cm sur 1,20m, comme dans la première coque. Je n'ai pas mis la quatrième, elle aurait gêné le réservoir du WC.
Hier matin, quand j'ai vu que l'époxy n'était pas dur dans la barquette de mélange, je suis allé voir dans la coque. Au vu de cette coulure j'ai tout de suite compris.
Un flash mémoire a confirmé l'énorme erreur :235. J'ai fait un mélange de 235 g au lieu de 270. Les 35g de durcisseur manquants font que le mélange ne prend pas.
C'est la première fois que je fais ce genre d'erreur. Une faute d'inattention qui ne pardonne pas, et pourtant cela fait 4 ans que je fais ces gestes.
C'est ce genre d'erreur bête que je redoute le plus. C'est imparable. Il faudra que je me trouve des garde-fou. J'ai intérêt à répéter les manœuvres de navigation, jusqu'à ce que tout soit bien ancré (c'est bien le mot!) dans ma caboche de débutant.


La consigne est simple, il faut tout enlever et vite. Il fait 33° et ça commence quand même à durcir.
Samedi, dépose des étagères et premier nettoyage de la coque.
Dimanche, nettoyage des étagères et finition de la coque suivi de la mise en place des étagères pour fixation.
Bilan 18 heures de travail pour rien et une semaine de retard supplémentaire.
2014 commence mal. Les dieux ne m'aident pas vraiment.
Il faudra refaire le collage demain pour ne pas perdre trop de temps.