dimanche 9 février 2014

peinture intérieure cabine

Je ne sais pas si c'est dans ma nature, mais je suis toujours semble-t-il à la traîne. Après avoir attendu la beau temps la veille, le dimanche matin malgré le beau soleil j'ai dû faire d'autres activités. Résultat, je n'étais prêt pour la première couche que vers les 6 heures du soir. Autant vous dire que j'ai fait vite.







Les masquages commencés depuis quelques jours déjà étaient bien avancés. Ici on protège l'extérieur de la cabine qui est encore brute.











Au dernier moment, découpe du toit, ponçage et masquage des zones à coller.












Début donc de la peinture proprement dite à 18 heures, l'heure de l'émission "Vivre avec les bêtes" sur France Inter. C'est là que je mesure le gouffre qui me sépare de certaines personnes parfois même de mon entourage.
J'ai préparé 2 mesures de mélange pour commencer. Peut être à cause de la chaleur, mais le pistolet refuse obstinément de fonctionner. La buse semble bouchée, et il n'y  a qu'une projection de "fil" de peinture.  On dirait que la peinture est trop pâteuse. Je rajoute un peu de diluant et je touille bien jusqu'au fond avec une baguette en bois. Enfin à force d'insister, le pistolet se débouche et la partie peut

commencer. Le toit est fini en quelques minutes.
L'intérieur est plus délicat, surtout sous les étagères. Il faut le faire maintenant que le godet est encore plein. Comme il faut beaucoup pencher le pistolet, s'il y a très peu de peinture, il peu se désamorcer et projeter de l'air seulement.
L'arrière de la  cabine est finie sans coulure. Il faut dire que j'économise de la peinture pour finir toute la surface.





L'avant, c'est à dire le carré est un peu plus léger. On voit encore bien le CP, mais il est déjà trop tard, pour préparer un autre dose de peinture. La deuxième couche sera plus épaisse, hé pis c'est tout !
Il reste encore à nettoyer le pistolet.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire