samedi 30 novembre 2013

34 l'après midi

Journée particulièrement chaude. 34 sous la véranda dans l'après midi ! Cela veut-dire qu'il en fait au mins autant dans l'atelier.
















Malgré la chaleur, je termine la préparation de la coque. Ici je fignole le recouvrement haut-pas de=u bordé. Il faut des courbes douces dans les deux sens sur environ 15 mm, pour être sûr que le tissu que le tissu va bien épouser la forme sans laisser de vide.








 Mon petit outil permet de contrôler les deux courbures. C'est parfait!

mercredi 27 novembre 2013

renfort quille

La quille est renforcée avant la stratification par deux couches de tissu biaxial sur toute la longueur. Il était prévu une largeur de 20 et une de15. Mais en regardant sur le blog, j'ai confondu avec la stratification, et j'ai mis une de 26 et une autre de 18.
Ce n'est pas trop grave. Cela aurait embêtant  si j'avais fait plus petit que prévu.







Le tissu d'arrachage pour lisser le tout et bonne nuit!

lundi 25 novembre 2013

les ratrapages

Après ponçage de la totalité de la coque, il s'est révélé quelques manques ici ou là.
J'ai donc dû recharger entre autre la proue et la poupe.
Lors du ponçage j'en ai profité pour ramener les formes identiques à la coque babord.









dimanche 24 novembre 2013

charge de batterie

En attendant de brancher les batteries sur le panneau solaire, je les recharges à l'aide d'un petit chargeur à découpage. Il faut les recharger au maximum. Si j'ai bien compris la notice, pour étalonner le contrôleur, il faut qu'il sache quelle est la charge maxi. Il connait le seuil mini. Entre les deux en fonction du courant qui passe dans un sens ou dans un autre, il peut définir la capacité restante ou le temps de charge.
A noter que je ne suis absolument pas sûr de la valeur afficher par mon multimètre. Elle est dans la bonne plage, c'est tout ce que je peux dire!

samedi 23 novembre 2013

préparation coque pour stratification

La coque en cours de préparation.
Tous les trous de vis sont bouchés, la proue et la poupe sont arrondies et mises en forme selon les relevés de l'autre coque.
Les quelques différences qui subsisteront ne transformeront pas le cata en prao! On ne se refait pas, et comme toujours je m'attache un peu trop au détail.

lundi 18 novembre 2013

un plus fêlé




Cela fait un moment que je voulais montrer des gens bien plus fêlés que moi. Ce cata de 16 m, donc 2 fois plus grand, plus haut et plus large que le mien, mais au moins 15 fois plus lourd.
Quand au prix mieux vaut ne pas en parler. Il suffit de regarder la taille du hangar. Imaginez le loyer!
Durée de la construction : 10 ans à 2 ou 3. Au stade actuel, il manque peut-être une petite année avant la mise à l'eau.
Je ne sais pas si c'est rentable, mais c'est un bel engin destiné à faire du charter sur la côtes malgaches sous immatriculation étrangère.

Le flotteur fait plus de 2 m de haut et héberge 2 cabines de chaque côté.
La peinture fait partie des travaux faites par une équipe externe, pour avoir une qualité professionnelle.








La nacelle qui abrite la cuisine et les instruments de navigation.
Elle est relativement haute sur l'eau et fait plus de 2 m de haut aussi.
Notez de chaque côté, les trappes de survie, qui permettent de quitter le bord en cas de chavirage. Elle sont obligatoires sur les catas de plus de 12 m, pour la législation française!






Un mât tout en carbone qui est bien noir, malgré  ce que nous montre la photo, de plus de 18 m. Lui aussi a installé 2 gaines pour faire passer les câbles.
Rien que pour le gréement, il reste encore pas mal de travail, même si on voit le bout du tunnel.















Un des 4 winchs qui fait au moins 30 cm de haut et certainement plusieurs milliers d'euros, vu la marque

dimanche 17 novembre 2013

upside down

La cabine est terminée, du moins sur les côtés. Il fallait faire un joint intérieur-extérieur à la liaison avec la coque et finir les joints avec les cloisons. Pour l'intérieur il reste à un renfort de tissu biaxial à la liaison cabine-coque. Dessus viendra 4 petites étagères d'environ 15 cm de large.








Je découpe tout de suite la descente. Quand la coque sera retournée, ce sera le seul passage pour passer à l'intérieur, le toit de la cabine rasant le sol.











Le palan devant soulevé la coque a été modifié, maintenant que je possède quelques poulies. Ici une poulie double Harken, et un anneau de friction Antal. Je vais tester les capacités de l'anneau en situation. Winchard en fait maintenant de plus petits encore. Au besoin je n'hésiterai pas à en acheter, puisque c'est inusable, contrairement au poulies qui s'usent.












La coque est retournée. Pour éviter tout incident on l'a fait à 3, mais c'est tout à fait possible à 2. Je vais essayer tout seul dès que je serai tranquille.
Pour l'instant la coque est un peu trop haut. Il faudra la descendre pour pouvoir travailler plus facilement surtout sur le dessus, c'est çà dire la quille.








Une petite séance le soir pour le joint congé coque pont. Ici c'est l'avant qui correspond à la cabine et qui est plus petit, donc plus facile.
Encore une journée bien remplie!










Souvent on utilise des vis pour maintenir les pièces en position durant le collage. Le vis pris dans la colle sont difficile à dévisser. Il m'arrive de le chauffer pour faciliter le dévissage, l'époxy se ramollissant à la chaleur.
Autrement s'il n'y a pas beaucoup de colle, on peut donner un coup à droite, pour caser la colle, et ensuite à gauche pour dévisser. Si jamais on, use un peu la vis en serrant, ce n'est pas grave, pourvu que l'on puisse desserrer.

vendredi 15 novembre 2013

cabine collée


Les deux côtés sont justes positionnés et assemblés au niveau des cloisons. Un écarteur sur le dessus permet de respecter la longueur totale de la cabine 2,44m. Sur l'autre coque j'ai eu un problème sur cette dimension, les cloisons ayant été  contraint semble-t'il au moment du collage.

jeudi 14 novembre 2013

plus d'équipement

La girouette-anémomètre est arrivée. L'aérien est de bonne qualité. L'afficheur est similaire au loch-sondeur.
Sitôt que j'aurai l'antenne de la VHF, je pourrai positionner tout ce petit monde en tête de mât avec le feu.
J'ai commencé à réfléchir à une chaise pour me hisse en tête de mât en cas de problème. La loi de "l'emmerdement maximum" dit que plus on a d'appareil, plus on a de pannes. Et c'est quand a une première panne, que les autres ne tardent pas à arriver. La seule raison de ces appareils, est de m'amener à bien relever les caractéristique du TIKI. Cela prendra sans doute un peu de temps, mais je dois arriver à tirer le maximum du bateau.


Les batteries qui vont compléter le circuit électrique. Il y en a deux de 50 AH avec son bac. Le bac aide à contenir l'acide en cas de débordement. Mais comme ce sont des batteries scellées, il n'y a pas de débordement. En tout cas, c'est plus propre.









Le bac entre tout juste sous la banquette. Il faudra couper environ 5mm, pour que l'ensemble coulisse facilement  pour la mise en place. Il ne restera plus qu'à le caler vers l'avant. C'est la position la plus proche du tableau électrique. Il y a de l'aération et de l'accessibilité. C'est donc la position idéale.








Le régulateur éolienne-panneau solaire, arrivé, s'était perdu parmi les autres matériel. Il est maintenant là, et je vais pouvoir brancher l'ensemble, surtout qu'il y a du soleil.
Il est petit mais convient à l'usage qui lui est destiné.










En début d'année cette chatte est arrivée chez moi et depuis n'a plus jamais voulu repartir. J'ai mis des annonces et collé des affiches dans tout le quartier, mais personne n'est venu la réclamer. On dit que l'animal choisit ses maîtres, c'est bien le cas. Seul problème, j'ai déjà deux chats. Les gens prennent des animaux pour des jouets, et après ne savent plus quoi en faire quand ils n'ont plus envie de jouer. C'est l'animal et les voisins qui trinquent.











mardi 12 novembre 2013

les côtés de la cabine

Après la mise en place d'un écarteur entre les cloisons 2, 3 et 4, le collage peut commencer. C'est juste un petit filet pour maintenir les pièces ensemble. Autant que possible, je fractionne les tâches pour éviter d'avoir une séance trop longue ou de gaspiller de l'époxy.







J'avais oublié ce problème. Pour avoir laissé l'époxy trop en tas, cela a créé un point chaud qui a fait prendre le mélange en quelques minutes. L'été est là et la température ambiante a augmenté. Dans ce cas il faut soit étaler l'époxy, soit le refroidir en trempant le contenant dans un bac d'eau froide. N'ayant fait ni l'un ni l'autre, voilà le résultat!

dimanche 10 novembre 2013

la cabine suite

Dernièrement je suis allé relever quelques arrondis sur la première coque. J'ai bien pris quelques notes, mais souvent j'ai oublié les détails. En plus sur le blog, je mettais le minimum, allez savoir pourquoi!.
Donc avec ce petit outil, constitué de fils d'acier d'un demi millimètre de diamètre, enserrés entre deux plaques, mais avec un jeu, les laissant coulisser librement. En appliquant l'outil contre une pièce en forme, et en faisant coulisser le fils on arrive à relever la forme de la pièce.




J'ai reporté quelques éléments dans un carnet, et ils vont me permettre de faire une deuxième coque identique à la première.











Le problème s'est surtout posé pour cette jonction. J'étais prêt à coller les côtés de la cabine quand je me suis aperçu de cet ajustage. Je n'avais pas noté ce point, ni sur les plans ni dans le blog.
Je ne sais pas pourquoi, mais la première fois, j'ai stratifié le bordé avant de finir la cabine, contrairement au plan. Sans doute étais-je pressé de voir si je pouvais retourner la coque sans trop de difficulté.
Aujourd'hui il est préférable de suivre les plans, puisque je voudrais confirmer certains positionnements comme le WC et ses accessoires, le tableau électrique et les instruments. Quoi qu'il en soit, dès que les côtés de la cabines seront collés, je retournerai la coque pour faire tous les joints congés internes sous les banquettes et sous le pont.

samedi 9 novembre 2013

début de la cabine

Traçage des côtés de la cabine. J'ai utilisé le gabarit de la première coque pour le bas et les deux bords.
Ici je trace le haut directement avec l'alignement des cloisons 2 et 4.
Notez ma tenue d'été qui prouve bien que la chaleur est de retour. Malheureusement le photographe ne m'a pas averti, ce qui fait que je n'ai pas eu le temps de contracter mes ventraux. On voit donc bien les méfaits de l'age, la gravité et ... la bière. A la votre !

mercredi 6 novembre 2013

un corse au travail

La plupart du temps mon chat dort quand il est à l'intérieur sous ce transat. Il l'utilise comme oreiller. Généralement c'est la traverse avant basse, mais aujourd'hui c'est un montant. A mon avis ce chat a dû être un corse dans une ancienne vie. Mais il a quand même raison, pour bien dormir, il faut être à son aise!

lundi 4 novembre 2013

les soldes

La première ancre est un modèle soc de 6 kg. C'est largement suffisant pour les 1,5 tonnes du cata en charge. Une deuxième ancre plate, de poids équivalent complètera le mouillage. Avec l'ancre viendra un bout de chaîne de 6mm pour tenir contre les ragages et le reste en mouillage de 12 mm, au moins une cinquantaine de mètres.
Bien que ça soit une ancre de marque, je trouve que la finition pêche un peu. C'est n'est que de la tôle épaisse pliée, et malgré tout il y a des irrégularités. En plus les bords sont mal ébavurés, ce qui expose à de fort risque de coupures. Il faudra faire un ébavurage avant l'utilisation.

Sur les deux appareils Advansea, seul le speedo-sondeur est arrivé. L'écran a un bel aspect avec une notice en français.













La sonde loch-speedo.
Je viens d'apprendre qu'il y avait aussi la température. Ce n'est pas des plus utiles, mais on verra bien quel usage on pourra en faire dans la pratique.
Ce sont des sondes américaines qui semblent de très bonne qualité. La notice conseille l'usage d'antifouling à l'eau. Pour l'instant je n'en ai pas trouvé. C'est une sonde amovible, ce qui explique le nombre important de pièces. On peut retirer la sonde pour entretien ou quand le bateau ne navigue pas, sans que le bateau ne soit inondé. Il y a un fil métallique pour sécuriser les pièces comme pour les avions. C'est cette sonde qui déterminera le positionnement en hauteur.


La sonde profondeur.
C'est la même marque que l'autre : AIRMAR.
Le câble est très long et ne peuvent être raccourcis. Les fiches de raccordement sont serties. Je cherche la meilleur place pour positionner cette sonde.
Cette sonde sera placée environ 20 cm devant l'autre pour ne pas être perturbée pas la roulette du speedo. Je pense la mettre à peu près au milieu de la coque, dans la cabine de manière à pouvoir être inspectée facilement régulièrement.




C'est fabriqué en France (cocorico).
C'est la confirmation que cette marque de PLASTIMO est fabriquée en France.
La qualité de fabrication est bien meilleure que les instruments NASA. On voit tout de suite la différence rien qu'en comparant les deux capots de protection. J'ai voulu du matériel de qualité en prenant cette marque, et pour l'instant je ne suis pas déçu.





Le moniteur de batteries.
C'est justement un modèle de marque NASA. Il n'est pas très cher et donne toutes indications nécessaires à la bonne utilisations des batteries.
Il affiche le courant de charge et de décharge, la ension, avec une alarme basse ainsi que l'état de charge. Il se situera sur un panneau à côté du tableau électrique. Dessous il ,y aura la VHF.





 VHF ASN et récepteur AIS.
 L'ASN permet d'appeler une station en composant directement son code MMSI., comme avec un téléphone.
 Mais on peut aussi l'utiliser comme une VHF normale, c'est à dire comme une radio qui arrose dans un rayon de 20 miles.
L'AIS permet d'afficher la position de tous les gros navires quand ils allument leur émetteur, ce qu'ils devraient faire en permanence. On peut aussi récupérer le signal pour l'afficher sur un traceur de carte. On peut aussi connecter un GPS pour afficher la position, mais surtout l'envoyer dans un message de détresse, quand on appuie sur la touche dédiée. Pour l'instant toutes ces manipulations sont encore théoriques, puisque je n'ai jamais encore pratiqué.