samedi 28 juin 2014

la ligne de flottaison

 La séance d'hier a permis de régler le laser. Il y a d'abord  un premier niveau pour le trépied. Ensuite un niveau pour le plateau tournant, et enfin un dernier niveau pour le laser lui même.
On pointe d'abord les marques avant et arrière de la flottaison repérées sur la coque, ce qui met donc la coque à l'horizontal.. Ensuite on fait tourner le laser et on trace point par point sur la coque.
Le résultat semble correcte malgré la manque de recul. Mais j'ai quand même malgré tout un décalage de quelques centimètres vers le milieu de la coque entre le tracé babord et celui de tribord. Si c'est dû à un manque d'horizontalité, je vais redresser la coque et faire une correction. Autrement, je laisse comme ça et je verrai au prochain carénage.

mercredi 25 juin 2014

tête en haut

La coque retournée et débarrassée des bandes de masquage. Il n'y pas trop de défauts semble-t-il. Peut-être des rattrapage surtout en bordure du rouge comme ici à,la proue où le orange n'est pas bien droit. Ce qui est nettement visible quand la coque est redressée, l'était beaucoup moins bien la coque renversée.
Ce sera sans doute à revoir lors de la troisième couche sur la première coque.
Pour l'heure j'ai fini la découpe des hublots et je prépare la mise en place des sondes profondeur et vitesse. Pour cela je vais devoir tracer la ligne de flottaison qui préparera aussi l'antifouling.

jeudi 19 juin 2014

pas d'arrêt à l'orange

Après 4 heures de pistolet et 1,6 l de peinture, tout est terminé.
Mais je me demande toujours pourquoi je m'évertue à peindre en orange toute la partie sous la flottaison qui sera recouverte d'antifouling. J'ai voulu faire simple, mais si ce n'est pas une erreur, cela me coûte quelques dizaines d'euros plus chère.
Cette fois-ci la peinture est bien brillante. Du coup on voit mieux tous les défauts. Si un jour, je construis un autre bateau, on ne sait jamais, je mettrai une couche d'enduit plus épaisse, pour avoir une coque sans défaut plus lisse.
Si tout va bien, demain après une deuxième couche de blanc sous le pont de la soute avant, je retourne la coque.







Les safrans sont bien oranges cette fois-ci.

dimanche 15 juin 2014

l'homme propose...

Encore une fois avec les fêtes, je n'ai pas pu terminer mes engagements. La dernière couche d'orange n'est donc pas passée. Pour ne pas tout perdre, j'ai continué l'acquisition d'équipements.
Le premier c'est cet antifouling. Je le cherchais depuis un moment déjà, mais il n'était pas disponible sur l'île. C'est un kit composé d'un liant de 1 kg et de 1,2 kg de poudre de cuivre. Il est plus écologique que l'équivalent traditionnel. Sa tenue est donnée pour 5 ans. Sur internet les opinions sur son efficacité sont partagées. Le plus simple est donc d'essayer.

Avec une capacité de 6 adultes, il y a 4 brassières de ce types, en mousse et 2 gilets gonflables.
Les gilets sont pour l'usage quotidien, alors que les brassières avec leur mousse, seront toujours disponible sans aucun entretien en cas de coup dur. C'est un modèle pour plus de 6 miles, donc utilisable partout.
A noter l'efficacité des panneaux réfléchissants qui rend la photo au flash plus sombre.










Un peu de fil à voile pour les coutures. Il y en aura comme la protection de la grand voile. il ne reste plus qu'à trouver une machine à coudre. J'ai déjà trouvé le tissu, il suffit de le commander.













Ce gel permet d'isoler deux pièces de nature différente, fixées ensemble. Pour l'instant j'ai surtout le mâtereau qui supporte l'éolienne. Il est constitué de 2 parties en inox, assemblé par un rond d'aluminium.
Sans cette protection, le contact de deux métaux différents, crée un courant électrique très faible qui va quand même ronger l'aluminium.











Pour la fermeture des capots, sur les conseils d'un marchand d'accastillage, je vais tester ce montage simple : 2 pitons à œil de 6 mm. L'un est fixé dans le pont et l'autre dans le capot. Un cadenas passant dans les deux trois ferment le capot.









Une prise allume cigare pour alimenter un appareil en 12 V. Il existe des modèles en inox, mais celui là est en plastique.











En plus du tableau équipé de disjoncteurs qui distribue le courant et protège les différents circuits, il y a des interrupteurs pour gérer l'allumage et l'extinctions des appareils.
J'ai préféré ce modèle disponible sous plusieurs formes, étanches avec un voyant à led.







En prévision de l'orange, qui arrivera bien un jour ou l'autre, je fais le masquage du blanc. Le safran a été monté provisoirement pour repérer la continuité avec la coque. Il y aura donc juste cette petite tête en blanc.


































































lundi 9 juin 2014

l'atelier de peinture

Encore une fois j'ai dû changer de programme. Je manquais d'orange. La gestion de 2 couleurs qui n'utilisent pas le même durcisseur est problématique. Je n'y ai pas pensé plus tôt, mais j'aurais dû tout peindre en blanc au moins 2 couches, et faire uniquement la troisième en orange. C'est vrai que je ne pensais pas faire 3 couches au début.Je vais faire la deuxième couche sur les capots et les safrans.

 L'atelier étant trop plein j'ai transformé mon arrière cour. En attendant que le soleil commence à descendre, et que le vent tombe, j'ai installé mon matériel. Mais je n'ai pu commencer qu'à 4 heures.
A 6 heures et demi, tout est terminé.
Pour la prochaine couche d'orange, je terminerai les safrans. Pour les capots, quand la coque sera retournée, je ferai le dernière couche de blanc.
J'ai une pensée pour mon pote qui héberge ma première coque. Il est en chambre stérile à l’hôpital à cause d'une chute inexpliquée de ses globules blancs. Je lui souhaite bon courage, pour surmonter cette épreuve.

samedi 7 juin 2014

j

C'est mon petit jour "j", en attendant le grand, celui de la mise à l'eau. L'éclairage est toujours insuffisant malgré tous les néons.
En moins de 3 heures c'était terminé.















C'est terminé. Dans l'ensemble, la peinture est brillante, mais parfois il y a des petites zones ternes qui signifient, qu'il n'y a pas eu assez de peinture.
Étant donné l'heure tardive, la 3ème couche sera pour demain.














Je vais en profiter pour terminer les deux safrans. Mais comme il faut 1,2 litre pour une couche, je vais être un peut juste. Je vais économiser et faire une dernière couche plus mince.














Voici le fameux boîtier qui permet de brancher les feux de la remorque sur un véhicule à faisceau multiplexé.
C'est un peu cher, mais de fabrication suédoise, ce qui est un gage de qualité. A la vue, la qualité même des matériaux est meilleure. Il ne reste plus qu'à brancher tout ça.

vendredi 6 juin 2014

J + 1 = j


 Après le ponçage, la première tâche a consisté à mettre les bandes de masquage. C'est une bande spéciale qui fait une bordure franche et qui se décolle facilement. Comme annoncé, j'ai changé la limite du blanc qui n'est plus le pont mais le dessous du raidisseur.









Un peu de masquage pour le pont et la cabine et on est prêt pour le grand jour. Si j'arrive à passer les 2 couches demain, je pourrai faire l'antifouling dimanche, donc retourner la coque lundi.
Mais comme on dit, avec des si on mettrait Paris en bouteille..au lieu d'un bateau.










J'ai reçu ma nouvelle attache remorque, qui correspond bien à ma voiture. Heureusement que je roule à vélo depuis plus de 20 ans, car les deux pièces sont venues par avion, ce qui donne un mauvais bilan carbone ;-(.
Comme c'est une voiture moderne, il me faudra prendre un boitier spécial pour brancher le faisceau électrique, ce qui n'est pas nécessaire sur les modèles plus anciens. J'avoue avoir du mal à voir le côté positif de l'affaire.