lundi 26 septembre 2016

cinquième sortie


   Le raidisseur de la poutre du mât est en place. Les haubans sont tendus à 50 kg. La patte d'oie est à 100 kg. La sortie s'est bien passée avec des vents assez faibles. Nous avons dû utiliser le moteur pour essayer de trouver des zones de vents. Les moyennes sont un peu faussées mais en rentrant le vent a forci ce qui nous a permis ce constater que les tensions sont correctes mêmes si elles doivent être validées dans des vents plus forts. L'ensemble s'est bien comporté.

Trajet : 15,5 milles
Cumul trajet ; 67.6 M

Temps : 6 h 11
Cumul temps : 20 h 41

Vitesse maxi : 7,1 nœuds
 

  Après avoir vérifié encore une fois que le passage des drisses dans la corne est bien conforme au plan, je commence  à envisager sérieusement une autre solution au moins pour les voiles d'avant.  Ce sont la bleue, du génois et la verte du tourmentin. Actuellement il n'y a que la bleue qui est utilisée, mais elle semble empêcher la corne de monter au maximum, la bordure de la grand-voile frôlant les cabines.
Le nouveau passage serait dans un anneau de friction monté souple, inséré entre la corne et le mât, de chaque côté du patin.


  Le ragage est bien visible, autant sur la corne comme ici, que sur le mât. Cela me désole, d'autant plus que celui-ci n'est toujours pas protégé du soleil.










 Pour supprimer le ragage sur le mât, en attendant de trouver du nylon, comme conseillé par Rogerio et faute de meilleur cuir, j'ai essayé du néoprène récupéré sur une protection de pêcheur à pied. Celui-ci est collé sur un tissu. Le plus épais pour le patin, et le plus mince sur les joues de la fourche.
  Malheureusement  la première utilisation, les bandes collées sur les joues vont se décoller au niveau du tissu. Le vieillissement a désolidarisé les deux éléments, ce qui n'était pas visible au moment du collage.

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