samedi 28 avril 2012

15h15 : la façade de l'atelier est tombée et on prépare la rampe qui permettra de descendre les 20cm entre le plancher et le gazon.
Avec quelques planches et des chutes de bois, une rampe acceptable est fabriquée.








 16h24 :J'avais prévu de ralentir la descente de la coque à l'aide d'un palan. Mais Loïc est arrivé avec un treuil électrique qui tout de suite a fait l'unanimité. Avec son frein automatique, c'est un gage de sécurité supplémentaire.








 16h17 :C'est parti, pour la première fois un bout de coque sort de l'atelier.















Un rayon de soleil couchant nous encourage dans nos efforts.
















16h35 : les choses sérieuses commencent. Il faut garder l'avant assez haut pour éviter que la cabine touche la charpente.
J'assure avec un cordage amarré  avec un poteau de la clôture, qui passe par l'étrave ensuite dans un anneau fixé dans les fondations de la maison.







16h38 : à la sortie de la rampe, le chariot a craqué. La garde est trop basse. C'est un point qu'il faudra corriger absolument pour la prochaine fois. Il a fallu aider avec un pied de biche. Le chariot a laissé quelques copeaux dans l'affaire.









16h39 : pas le temps de souffler, qu'une autre frayeur arrive. Le chariot qui jusqu'à présent supportait la coque se trouve à ce moment là dans le vide. Non retenu, il veut se faire la belle.  Vite, je le maintiens en place. Comme j'ai dû attendre au dernier moment pour mettre le chariot sous la coque, j'ai complètement oublié de l'attacher à l'aide d'un bout qui passe par dessus la cabine. C'était chaud!





16h40 : Ah ces hommes, ils font tout un plat avec une petite coque de rien du tout, alors que moi je le fais décontractée!










16h45 : les roues avant touchent le sol. Ce n'est pas trop tôt, on commençait à fatiguer. l'arrière a quitté complètement l'atelier.










 16h50 : on roule, en attendant de glisser. Un bateau à 6 roues, dont aucune motrice. Distance à parcourir : 4m !















16h59: On assure. Avec le dénivelé, mieux vaut éviter que ça bouge.
17:00 : c'est fini. Mais, il y en a qui aime la difficulté quand même!












17h01: la coque est alignée, prête à monter sur la remorque. C'est pas plus compliqué que ça!


17h09 : après l’effort, on fait le plein, grâce à la sponsorisation par notre brasseur local.
Un grand merci à Yasmine, Claudine,Philippe, Loïc, Bernard, Jeannick, Michel et Tito. Rendez-vous à la prochaine coque.

2 commentaires: